Outils d'évaluation pendant le parcours de formation

Modes d’évaluation intermédiaire « au fil de l’eau » : y-a-il des interdits ?

Il faut proscrire les évaluations ne permettant pas d’identifier clairement les compétences.

  Les évaluations en CCF sont-elles harmonisées au niveau national ?

Pas au niveau national mais au niveau académique, une commission d’harmonisation est organisée par le président de jury à chaque session d’examen. Ses travaux sont effectués notamment sur la base des fiches finales d’évaluation produites et transmises par les équipes.

 Doit-on élaborer des grilles différentes pour évaluer les différentes compétences ou peut-on utiliser la même grille ?

Ce ne sont pas les mêmes critères d’évaluation (cf dans le référentiel, la rubrique « on exige »). Il faut donc utiliser des grilles distinctes.

  Délimitation et couverture des domaines de compétence

 La grille d’évaluation finale fait état de compétences complémentaires éventuellement  mobilisées. S’agit-il uniquement de compétences évaluées en ACRC ou cela peut-il être des compétences évaluées dans d’autres épreuves que l’ACRC ?

Ces compétences ne peuvent être évaluées qu’en ACRC.

 Comment sont évaluées les compétences liées au management d’UC/d’équipe, principale fonction de certains tuteurs ?

Les compétences de management sont dorénavant évaluées lors de l’épreuve de MGUC.

   Comment faire s’il n’est pas possible de valider une compétence dans l’ UC accueillant l’étudiant ?

Il faut alors soit compléter l’expérience professionnelle dans une autre UC, soit faire une activité fictive.

   Les 6 compétences doivent-elles être évaluées ?

 Oui

 Pour valider une compétence, faut-il que toutes les sous-compétences le soient ?

Pas forcément. Pour la compétence « Vendre », c’est tout à fait possible. Pour la compétence « Dynamiser l’offre », l’étudiant peut organiser des actions de promotion ou organiser des animations des ventes, mais il ne peut être évalué que sur l’une des deux sous compétences.

 Plusieurs taches semi-répétitives peuvent elle permettre de valider une compétence ?

Non, dans la mesure où une activité ne se limite pas à des tâches répétitives mais aussi à une analyse quantitative et qualitative de l’activité menée.

 Evaluation et/ou notation

Comment ne pas juxtaposer inutilement deux processus d’évaluation : le CCF (dont les résultats ne peuvent être communiqués) et les évaluations « classiques » destinées à alimenter le livret scolaire ?

Les résultats des évaluations intermédiaires peuvent être communiqués pour que l’étudiant puisse connaître son niveau et « piloter » le développement de ses compétences par les activités réalisées en uc.

  L’expérience du BTS CI a montré que le risque était grand de soumettre les étudiants à un train d’évaluations incessant.

Quelle que soit la formation, les étudiants sont évalués par les professeurs sous un angle formatif visant à favoriser le développement des compétences. L’évaluation au fil de l’eau prend appui sur le regard porté par le professeur sur le travail de l’étudiant. Ce regard d’évaluation au fil de l’eau alimente progressivement l’évaluation certificative. Cette approche ne doit pas ajouter d’évaluations à ce que pratique ordinairement le professeur. Le travail de l’étudiant est observé et évalué en permanence dans un objectif de progrès ; l’étudiant doit en comprendre l’intérêt pour son développement professionnel.

  Y-a-t-il une équivalence entre les notes sur 20, liées aux évaluations des activités, et le degré de maîtrise des compétences (1, 2,3 et 4) ?

Non. C’est le profil qui doit permettre de déterminer la note obtenue.

 A partir de quelle note les étudiants ont-ils validé une compétence ? (10, 12…)

Quand les étudiants ont atteint le niveau 3, la compétence existe vraiment. Certains étudiants, en fonction de paramètres personnels ou externes, pourront rencontrer davantage de difficultés que d’autres à l’atteindre.

  Quelle articulation entre l’évaluation « au fil de l’eau » et l’évaluation certificative ?

L’évaluation « au fil de l’eau » correspond au travail quotidien du formateur. In fine, cette évaluation est certificative.

  Que doit-on communiquer aux étudiants : des notes intermédiaires ou un simple profil.

Profil, lettre, note…pas de restriction.

 Quelle est la place des tuteurs dans la formation des étudiants, et plus précisément  dans l’accompagnement et le suivi des stages ?

Les tuteurs disposent de la meilleure place pour observer et rendre compte de l’acquisition et de la mise en œuvre de compétences.

  Quel poids est attribué à chacune des compétences dans l’évaluation ?

Un poids identique.

 

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